C’est en effet en 1968 que le Brevet d’Initiation Aéronautique a remplacé le brevet élémentaire des sports aériens, lui-même issu des loisirs dirigés mis en place par Jean Zay, le ministre de l’Education nationale du Front populaire.
Thomas Pesquet, astronaute de l’ESA, est parrain de ces 50 ans du BIA.
Le Brevet d’Initiation Aéronautique est un diplôme à part pour l’Education Nationale. Il n’a pas véritablement d’équivalent. Il est en effet à la jonction de l’Education et du monde de l’aviation et de l’espace ; un pont entre passion et raison, savoir et pratique, professionnel et amateur, civil et militaire. Son histoire ancienne et prestigieuse démontre sa valeur et son intérêt. La France est un grand pays d’aéronautique et le BIA est un formidable vecteur de découverte qui permet aux candidats de mettre en avant des compétences et des savoirs avec enthousiasme et rigueur. L’inspection générale des Sciences et Technique de l’Ingénieur a la chance d’être en charge pour l’Education Nationale de ce diplôme. Le BIA est mis en œuvre en pleine coordination avec la Direction Générale de l’Aviation Civile et le Conseil National des Fédérations Aéronautiques et Sportives.
L’objectif de la formation pratique au LAPL(A) est d’amener l’élève à un niveau de compétence lui permettant d’exploiter un avion monomoteur à pistons SEP de moins de 2 tonnes dans un environnement VFR dans tout le domaine de vol et en sécurité. En fin de formation, l’élève est présenté à l’épreuve pratique d’aptitude en vue de l’obtention de la licence de pilote d’avion léger LAPL(A).
Une licence LAPL n'est valable qu'en Europe et permet le pilotage d'avions monomoteurs à pistons de moins de 2 tonnes avec 3 passagers au maximum. A cette licence, ne peuvent s'ajouter que 2 qualifications supplémentaires (VFR de nuit et voltige) et ce, après avoir suivi la formation adéquate.
Une licence LAPL est valable à vie mais doit être prorogée tous les 2 ans en justifiant de 12 heures de vols dans les 24 derniers mois dont 1 heure avec instructeur.
La Licence de Pilote Privé (PPL) vous permettra de voyager sur un avion pour lequel vous êtes qualifié et d'emporter (sans rémunération) des passagers sans limitation de distance au dessus du territoire Français ou à l'étranger après l'obtention de la qualification d'anglais (FCL055). La licence vous donne également accès à de nombreuses qualifications additionnelles telles que le vol de nuit, le vol en montagne, le pilotage d'avions plus sophistiqués (RU train rentrant, VP hélice à pas variable), la voltige ou encore la qualification de vol aux instruments (IFR), ...
Une licence PPL permet le pilotage d'avion d'une masse maximale de 5T700 avec, au maximum, 19 passagers.
La licence est valable à vie et s'accompagne d'une S.E.P. (Single Engine Piston).
Une S.E.P. a une durée de validité de 2 ans. Elle est prorogée pour 2 ans si le pilote peut justifier de plus de 12 heures de vols, 12 décollages et attérissages et d'un vol avec instructeur dans les 12 mois qui précèdent la date d'expiration de la S.E.P.
Le PPL est aussi un passeport important pour les aspirants pilotes professionnels (CPL). C'est aujourd'hui la licence de pilote à caractère non professionnel la plus répandue.
Dans la pratique, une formation type de pilote privé s'étale sur une durée de 18 mois environ pour 60 heures de formation, idéalement à raison d'une séance d'instruction par semaine (en fonction de la disponibilité de l'élève, de l'instructeur, des appareils et de la météo). Le budget à consacrer à la formation est d'environ 400 €/mois.
Le terme "multiaxe" désigne le plus souvent un avion ULM de la Classe 3 dite "multiaxe". Autrement, c'est un adjectif qui veut simplement dire: "qui comporte plusieurs axes". L'ULM de classe 3 est un avion, c'est-à-dire un aéronef propulsé par un moteur et sustenté par une voilure fixe. Le terme "multiaxe" fait probablement référence à ses différentes surfaces aérodynamiques de gouverne (profondeur, direction et ailerons) qui définissent plusieurs axes de commande de vol, ce qui le différencie des autres classes d'ULM. Cependant deux autres classes d'ULM (la classe 4 "autogire" et la classe 6 "hélicoptère" ont aussi des commandes de vol qui agissent pareillement sur les trois axes de l'appareil, mais d'une façon différente. Le choix du terme "multiaxe" pour désigner la classe 3 est donc techniquement contestable, sémantiquement faible et difficilement compréhensible. Les aéronefs ULM de classe 3 étant des avions, selon la définition du code de l'aviation civile1 , il aurait été peut être été plus simple et techniquement plus correcte d'appeler la Classe 3 "avion" plutôt que "multiaxe", de la même façon que la classe 6 s'appelle "hélicoptère".
Le terme "multiaxe" désigne le plus souvent un avion ULM de la Classe 3 dite "multiaxe". Autrement, c'est un adjectif qui veut simplement dire: "qui comporte plusieurs axes".
L'ULM de classe 3 est un avion, c'est-à-dire un aéronef propulsé par un moteur et sustenté par une voilure fixe. Le terme "multiaxe" fait probablement référence à ses différentes surfaces aérodynamiques de gouverne (profondeur, direction et ailerons) qui définissent plusieurs axes de commande de vol, ce qui le différencie des autres classes d'ULM. Cependant deux autres classes d'ULM (la classe 4 "autogire" et la classe 6 "hélicoptère" ont aussi des commandes de vol qui agissent pareillement sur les trois axes de l'appareil, mais d'une façon différente. Le choix du terme "multiaxe" pour désigner la classe 3 est donc techniquement contestable, sémantiquement faible et difficilement compréhensible. Les aéronefs ULM de classe 3 étant des avions, selon la définition du code de l'aviation civile1 , il aurait été peut être été plus simple et techniquement plus correcte d'appeler la Classe 3 "avion" plutôt que "multiaxe", de la même façon que la classe 6 s'appelle "hélicoptère".
Seul l'aspect réglementaire différencie les avions de type "ULM Classe 3" dits "multiaxe" des avions dits "léger" qui eux sont certifiés par l'autorité de régulation.
Depuis 2019, en France, les caractéristiques à respecter sont les suivantes :
Le vol de nuit fait appel à des compétences plus poussées que le celles apprises lors de l'obtention de la licence de pilote. Une expérience du vol aux instruments est fondamentale pour naviguer avec des repères différents et appréhender tous les aspects règlementaires de ce type de vol. Nous proposons un package vol de nuit vous permettant d'obtenir cette qualification dans un temps défini entre vous et l'instructeur.
30 heures de vol au total dont :
45 heures de vol dont :
Définition (wikipedia)
Le terme "multiaxe" désigne le plus souvent un avion ULM de la Classe 3 dite "multiaxe". Autrement, c'est un adjectif qui veut simplement dire: "qui comporte plusieurs axes".L'ULM de classe 3 est un avion, c'est-à-dire un aéronef propulsé par un moteur et sustenté par une voilure fixe. Le terme "multiaxe" fait probablement référence à ses différentes surfaces aérodynamiques de gouverne (profondeur, direction et ailerons) qui définissent plusieurs axes de commande de vol, ce qui le différencie des autres classes d'ULM. Cependant deux autres classes d'ULM (la classe 4 "autogire" et la classe 6 "hélicoptère" ont aussi des commandes de vol qui agissent pareillement sur les trois axes de l'appareil, mais d'une façon différente. Le choix du terme "multiaxe" pour désigner la classe 3 est donc techniquement contestable, sémantiquement faible et difficilement compréhensible. Les aéronefs ULM de classe 3 étant des avions, selon la définition du code de l'aviation civile1 , il aurait été peut être été plus simple et techniquement plus correcte d'appeler la Classe 3 "avion" plutôt que "multiaxe", de la même façon que la classe 6 s'appelle "hélicoptère".